Les dialogues ci-dessous ne représentent que les dialogues permettant d'augmenter l'estime de Zévran, toutes les conversations du jeu ne sont pas incluses.
Bavardages[]
Ces conversations ne sont pas limitées à un lieu spécifique.
Garde : « Pouvez-vous enseigner à autrui comment devenir assassin ? »[]
Après « Que faut-il pour devenir assassin ? »
Si l'approbation est égale ou inférieure à +25 :
Zévran : « J'ai juré aux Corbeaux que je garderais le secret de leurs enseignements. Et même s'ils nourrissent déjà une certaine animosité à mon égard… je préfère ne pas en rajouter. Vous comprenez ? »
- C'est pour important, non ?
- Je pourrais vous en donner l'ordre. -5
- Très bien. Je respecte votre choix. +2
Garde : « Je peux vous poser quelques questions ? »[]
Garde : « Avez-vous plaisir à être assassin ? »[]
Zévran : « Quant aux meurtres, eh bien… le monde est parfois mieux loti sans certaines personnes. Vous n'êtes pas de mon avis ? »
- Vous n'avez jamais tué d'innocent ?
- Beau prétexte. -2
- C'est très pragmatique, comme attitude.
- C'est méprisable ! Vous n'êtes qu'un meurtrier. -5
- Si, effectivement. -2
- Pas du tout. -7
- Si, vous avez sans doute raison.
Zévran : « De là à apprécier l'acte de tuer, où est le mal ? Il y a là un certain art, un plaisir non feint à plonger sa lame dans la chair, à se savoir maître de la vie d'autrui. »
- Je ne prends aucun plaisir à tuer. -2
- Moi aussi, j'apprécie la violence. +3
- C'est un peu pervers. -4
- Je connais cela aussi. +3
Zévran : « Mais le simple fait d'être assassin ? J'y trouve mon compte. Je continuerai dans cette voie, si possible, malgré ma défection des Corbeaux. Franchement, vous m'imaginez en autre chose ? »
- Un bel elfe comme vous ? Mon imagination galope. +3 (initie la romance)
- Pourquoi pas ? Votre vie est entre vos mains. +3
- N'avez-vous pas d'autres talents ? +1
- Non, en effet.
Garde : « Que faut-il pour devenir assassin ? »[]
Zévran : « Mais très franchement, il n'est guère besoin de vouloir gagner sa vie en tuant des gens. Dans le secteur, ce ne sont pas les perspectives de carrière qui manquent. »
- Il faut donc être un meurtrier. -5
- Il ne faut pas de compétences particulières ?
- Je suis sûr(e) que vous avez brillé. +2
Zévran : « Invalidez votre adversaire à l'aide d'un poison ou en l'estropiant, et la suite du combat en sera grandement facilitée. »
- C'est une saine stratégie. (fin de la conversation)
- Je préfère un combat de front. (fin de la conversation)
- Vous utilisez toujours du poison ? (fin de la conversation)
Garde : « Pourquoi vouliez-vous quitter les Corbeaux, au juste ? »[]
Zévran : « Mais le fait est que je n'ai jamais eu l'opportunité de choisir une autre voie. Alors si ce choix se présente, pourquoi devrais-je m'y refuser ? »
- C'était donc… par simple ennui ? -4
- Vous n'avez pas choisi d'intégrer les Corbeaux ? -1
- Mais que voudriez-vous faire d'autre ? +2
Zévran : « C'est ainsi que les Corbeaux achètent tous leurs assassins : on se les procure jeunes, on les éduque pour ne connaître que le meurtre. Et s'ils viennent à ne pas donner satisfaction durant leur formation, on les tue. »
- Et ce système fonctionne ?
- Ça m'a l'air affreux. +2
- Vous avez eu une vie dure. La belle affaire. -5
Zévran : « Mais en contre partie, il faut toujours obéir aux ordres, toujours. Et savoir qu'on est quantité négligeable. C'est une prison dorée ; belle, mais étouffante. »
- Et quels sont vos goûts, à ce propos ?
- Non, mais c'est inutile.
- Pas le moins du monde. +2 (initie la romance)
- (Homme) Mais je suis un homme.
- Non, mais ne recommencez pas. -3
- J'y compte bien ! -10
- Non, j'étais… juste surpris. +2 (initie la romance)
- Hum… À vrai dire, oui. -10
- Vous avez vécu dans l'opulence, semble-t-il. -7
- Pourquoi ne pas être parti, alors ? -2
- Je crois que je comprends +2
Zévran : « Je pourrais peut-être me mettre à mon compte, pour changer. Loin d'Antiva, il s'entend. Mais pour l'heure, évidemment, je reste à vos côtés. »
- Vous pensez que cela changera ? -3 (fin de la conversation)
- Et quand vous m'aurez trahie à la première occasion ? -2 (fin de la conversation)
- Les Corbeaux ne risquent pas de finir par vous retrouver ? (fin de la conversation)
- Je suis heureux(se) de vous avoir avec moi. +4 (fin de la conversation)
Garde : « Parlez-moi un peu d'Antiva. » Zévran : « C'est un endroit chaleureux, contrairement à ce Férelden froid et austère. À Antiva, il pleut souvent, mais les fleurs sont toujours éclose… Du moins, c'est ce que veut l'adage. »
- Et il y a des assassins.
- Vous ne voulez pas y retourner ?
- Férelden ne vous plaît pas ?
Zévran : « Mon foyer est la glorieuse cité royale d'Antiva. Antiva la belle, joyau resplendissant enchâssé parmi les sables. L'endroit d'où vous venez est-il comparable ? »
- (Noble Humain.ne) […]
- (Elfe citadin.ne) […]
- (Dalatien.ne)Mon peuple n'a pas de cité.
- (Nain) […]
- Je ne viens pas d'un joyau resplendissant, non.
- Bien sûr. Ma mère valait tous les joyaux du monde. +2
- Pourquoi ? Vous voulez comparer ? Ne soyez pas stupide. -5
Zévran : « Vous savez ce qui est le plus étrange ? Nous parlons de ma patrie, mais malgré ses vins, ses beautés brunes, ses ménestrels joueurs de lillo… c'est le cuir qui me manque le plus. »
- Étrange, en effet.
- Il faut y voir un euphémisme ?
- Je suis curieuse d'entendre ça.
Zévran : « Je me suis fait à la puanteur, même si les humains s'en plaignaient constamment. Aujourd'hui encore, c'est l'oderu du cuir frais qui me rappelle le plus mon foyer. »
- À vous entendre, voilà une éternité que vous êtes parti.
- C'est étrange. Du cuir, il y en a partout.
- Vraiment ? L'odeur d'une fosse d'aisance vous rappelle votre foyer ?
Zévran : « Je me suis dit : "Zévran, tu les achèteras en rentrant, après avoir mené ta mission à bien !" Ironique, non ? »
- Votre foyer est toujours où vous l'avez laissé, Zévran.
- Je voulais que vous me parliez d'Antiva, pas de votre obsession pour le cuir. -9
- Compris. Pardon. +1 (fin de la conversation)
- Vous vous emportez à vos risques et périls. -4 (fin de la conversation)
- Inutile de monter sur vos grands chevaux. (fin de la conversation)
- Ladite mission étant de me tuer ? -2
- Pour les bottes antivanes, c'est râpé. -2
Si le PJ est un homme :
Zévran : « La vie nous réserve parfois de ces surprises. Comment aurais-je pu me douter que je serais vaincu par un beau Garde des ombres, et qu'il m'épargnerait de surcroît ? »
- Vous cherchez à me flatter ?
- "Beau" ?
- Bien sûr que j'y vois une objection ! -8 (fin de la conversation)
- Vous perdez votre temps, voilà tout. -1 (fin de la conversation)
- Aucune, vous me prenez juste au dépourvu. +4 (fin de la conversation)
- Nous faisons tous des erreurs. +2 (fin de la conversation)
- « vous d'en tirer le meilleur parti. +4 (fin de la conversation)
- Ne me donnez pas matière à me raviser. -3 (fin de la conversation)
Si le PJ est une femme :
Zévran : « La vie nous réserve parfois de ces surprises. Comment aurais-je pu me douter que je serais vaincu par une belle Garde des ombres, et qu'elle m'épargnerait de surcroît ? »
- Vil flatteur
- "Belle", hein ?
- Oui, vous avez tort. -8 (fin de la conversation)
- Ne commencez pas, je vous surveille de près. -1 (fin de la conversation)
- Bien au contraire. +4 (fin de la conversation)
- Nous faisons tous des erreurs. +2 (fin de la conversation)
- « vous d'en tirer le meilleur parti. +4 (fin de la conversation)
- Ne me donnez pas matière à me raviser. -3 (fin de la conversation)
Admiration[]
Garde : « Vous jetez ce genre de regards à tout le monde ? »[]
Si le PJ est un homme :
Zévran : « Mais à un beau garçon comme vous ? Pourquoi pas ? Je suis sûr que vous vous attirez bien des regards, d'un sexe comme de l'autre. Y voyez-vous un mal ? »
- Pas vraiment, non.
- Je ne peux pas vous faire confiance, Zévran. -13 (fin de la conversation)
- Oui, je préférerais que vous arrêtiez. -5 (fin de la conversation)
- Un gentilhomme, vous ? Dommage. +4 (initie la romance) (fin de la conversation)
- Non, ça ne me dérange pas du tout.+2 (initie la romance) (fin de la conversation)
- Oh, je ne me doutais pas que vous étiez…
- Je ne peux pas vous faire confiance, Zévran. -10 (fin de la conversation)
- Oui, je préfèrerais que vous arrêtiez. -5 (fin de la conversation)
- Vous me donnez bien des envies, mais jamais de vomir. +4 (initie la romance) (fin de la conversation)
- Non, ça ne me dérange pas du tout. +2 (initie la romance) (fin de la conversation)
- J'y vois un mal, oui. -10 (fin de la conversation)
- Non, ça me plaît. +4 (initie la romance) (fin de la conversation)
Conversations initiées par Zévran[]
Si l'estime de Zévran est égale ou supérieur à +26 (Admiration) :
Zévran : « Une question, si vous permettez. »[]
- Je vous écoute. (→A)
- Je ne permets pas. -8 (retourne à la branche standard de conversation)
- Le moment est-il vraiment bien choisi ? -2
- Entendu, posez-la donc. (→A)
- J'ai autre chose à vous demander. (retourne à la branche standard de conversation)
- Ne me prêtez pas attention. Partons. (fin de la conversation)
(A) Zévran : « Ma question a trait à vos intentions à mon égard une fois cette affaire conclue. Par curiosité, comprenez-vous. »
- Votre serment n'a pas de date d'expiration. -2 (→B)
- Quelles intentions voulez-vous que j'aie ? (→B)
- Après vous avoir défloré dans l'ivresse de la victoire ? (initie la romance) +8 (si la romance n'est pas coupée) (→B)
- Vous pourriez partir, si vous le vouliez. (→C)
Zévran : « On peut supposer qu'une fois votre œuvre terminée, le Garde des ombres que vous êtes n'aura plus besoin d'un assassin. Ai-je tort ?
- J'aurai toujours besoin d'un ami. (si la romance est active →) autrement (fin de la conversation)
- Non. Rien de plus. -8 (met fin à la romance) (coupe la romance) (fin de la conversation)
- Nous verrons. -2 (fin de la conversation)
- Voilà qui me plairait. +2 (fin de la conversation)
- Je peux toujours trouver quelques utilités à un bel elfe. (initie la romance) +8 (si la romance n'est pas coupée) (fin de la conversation)
- J'aurais toujours besoin d'un serviteur, n'ayez crainte. -16 (fin de la conversation)
- Pas du tout. Vous pourriez partir, si vous le vouliez. +4 (→C)
- Je ne vous oblige à rien. Vous pouvez partir quand vous le souhaitez. +2 (→C)
(C) Zévran : « Je pourrais ? Et si je ne voulais pas ? »
- Pourquoi ne voudriez-vous pas partir, si vous en aviez l'occasion ? (→D)
- Je peux toujours trouver quelques utilités à un bel elfe.
- J'aurai toujours besoin d'un ami. (si la romance est active →) autrement (fin de la conversation)
- Non. Rien de plus. -8 (met fin à la romance) (coupe la romance) (fin de la conversation)
- Nous verrons. -2 (fin de la conversation)
- Voilà qui me plairait. +2 (fin de la conversation)
- Allez où bon vous semble, ça m'importe peu. -8 (met fin à la romance) (fin de la conversation)
(D) Zévran : « Comment voulez-vous que je le sache ? Je ne suis pas devin. Imaginez que je me trouve à mon aise ? Que nous ne puissons plus nous passer l'un de l'autre ? Cela n'a rien d'impossible. »
- J'en doute fortement. -8 (coupe la romance) (fin de la conversation)
- Un ami, pourquoi pas. (coupe la romance) (fin de la conversation)
- Je n'en doute pas. +1 (fin de la conversation)
- Je ne peux déjà plus me passer de vous. (initie la romance) +2 (fin de la conversation)
OU Si le PJ est en romance active avec Zévran :
(D) Zévran : « C'est difficile à dire. Peut-être y a-t-il quelqu'un qui me pousserait à rester ? »
- Non. Sûrement pas. -8 (met fin à la romance) (coupe la romance) (fin de la conversation)
- Par amitié, peut-être. Rien de plus. -8 (met fin à la romance) (coupe la romance) (fin de la conversation)
- Nous verrons. -2 (fin de la conversation)
- Voilà qui me plairait. +2 (fin de la conversation)
Romance[]
Amour facile[]
Disponible si l'estime de Zévran est égale ou supérieur à 71 (Adoration) et que le/la Garde et Zévran n'ont pas encore partagé leur couche.
Si le PJ est un homme :
Zévran : « Regardez-vous donc. Ces épaules tombantes, ces cernes sous les yeux… Pauvre homme, cette marche incessante vous mine. Vous savez de quoi vous avez besoin ? »
- Tiens donc ? Je suis tout ouïe.
- Un cheval ?
- Une bonne nuit de sommeil, peut-être.
- Je doute que vous soyez en mesure de me le fournir. -1
Zévran : « Voici ce que j'ai en tête : nous nous retirons dans votre tente et je vous fais un massage comme on n'en fait qu'après avoir grandi dans un bordel antivan. »
- Ça me tente. +14 (→D)
- Il n'en est absolument pas question. (→A)
- Vous êtes en train de me proposer ce que je crois ?
- Zévran… Je ne sais pas trop… (→B)
- Vous êtes vraiment sûr ? (→B)
(A) Zévran : « Pourquoi ? Parce que vous êtes un homme ? Je vous pensais plus ouvert à l'exotisme. Nous voyageons ensemble, nous nous battons ensemble… Pourquoi ne pas jouir ensemble l'un de l'autre ? »
- Vous faites fausse route à mon sujet. -10 (met fin à la romance) (fin de la conversation)
- Parce que vous êtes un assassin ? -20 (→C)
- Zévran… Je ne sais pas trop… (→B)
- J'ai quelqu'un d'autre à l'esprit. -20 (met fin à la romance) (fin de la conversation)
- Ma foi… Non. +10 (→D)
(B) Zévran : « Que craignez-vous donc, mon cher Garde des ombres ? Vous méritez bien de vous ébattre un peu, non ? Cela dit, si vous n'êtes pas d'humeur, je n'en ferai pas une tragédie. »
- Non. N'y comptez pas. Jamais. -10 (met fin à la romance) (fin de la conversation)
- Nous ne sommes pas tout à fait seuls. (fin de la conversation)
- J'ai quelqu'un d'autre à l'esprit. -10 (met fin à la romance) (fin de la conversation)
- Pas ici, pas maintenant. -5 (fin de la conversation)
- Si, je suis d'humeur. +7
(C) Zévran : « Moi qui nous croyais au-delà de ces menus détails. Faut-il que vous soyez si méfiant ? Ne pouvez-vous pas faire table rase du passé ? »
- Il n'empêche, je ne vous fais pas confiance. -10 (met fin à la romance) (fin de la conversation)
- Peu importe. -10 (met fin à la romance) (fin de la conversation)
- J'ai quelqu'un d'autre à l'esprit. -10 (met fin à la romance) (fin de la conversation)
- Zévran… Je ne sais pas trop… (→B)
- Vous avez raison. +12 (→D)
(D) Zévran : « Ma victime est consentante. Et si l'opportunité se présente de couper court au massage ? »
- Je vous laisse en décider. +1
- Ce ne sera pas le cas. Jamais. Croyez-moi. -20 (met fin à la romance) (fin de la conversation)
- Ne nous engageons pas dans cette voie. -15 (fin de la conversation)
- Vous trouverez bien une solution. +1
Zévran : « Vous voyez ? Je savais que nous en arriverions là. J'aurais dû vous avertir au moment où vous avez refusé de me tuer. C'était inévitable. »
- Vous êtes un vrai danger public. (→a)
- Moi qui pensais vous avoir séduit. (→a)
- Dommage, alors, que ça n'ait pas été plus délectable. -12 (→a)
- Je crois que nous devons discuter… -8 (→b)
(→a) Zévran : « Alors. Comme le disait la prêtresse au bel acteur : qu'est-ce qu'on fait maintenant ? »
- Comment puis-je savoir que ça ne fait pas partie de votre plan ? -3 (→c) -3
- J'allais vous poser la même question. (→d)
- On fait comme on a toujours fait. (→d)
- On pourrait remettre ça ? (→d)
- Nous devons en rester là. -15 (met fin à la romance) (fin de la conversation)
(→b) Zévran : « Fort bien, beau conquérant de mes nuits torrides. Quel tourment vous assaille ? »
- Comment puis-je savoir que ça ne fait pas partie de votre plan ? -3
- Ce que nous avons fait ne change rien. Vous en êtes bien conscient ?
- Je veux savoir où nous en sommes, tous les deux.
- Nous devons en rester là. -15 (met fin à la romance) (fin de la conversation)
(→c) Zévran : « Savez-vous que je peux avaler sans risque certains poisons qui pourraient déjà être en train de vous tuer ? »
- Je ne plaisante pas. -2
- C'est donc non ? Je n'arrive pas à savoir. -7
- Pardon. Je n'aurais pas dû en parler.
Zévran : « Mais de toute façon, n'est-il pas un peu tard pour nourrir les soupçons ? Les dés sont jetés, pour ainsi dire. Et superbement jetés, j'ajouterai. »
- Vous avez raison. Il est trop tard.
- Je ne peux pas vous croire sur parole. Cela n'arrivera plus. -15 (met fin à la romance) (fin de la conversation)
- Alors où en sommes-nous, tous les deux ?
- Est-ce que tout cela va changer la donne ?
(→d) Zévran : « J'ai appris à me satisfaire des rares plaisirs que me procurent mes voyages. Si vous souhaitez en rester là, je ne vous en demanderai pas plus. »
- Vous me prenez et vous me jetez ? (fin de la conversation)
- Et l'amour, alors ? -5 (fin de la conversation)
- Nous verrons au jour le jour. +2 (fin de la conversation)
- Je pense qu'il vaut mieux en finir. -15 (fin de la conversation)
Poésie antivane[]
Cette conversation se déclenche lorsque l'estime de Zévran est égale ou supérieure à +71 (Adoration).
Si la conversation commence d'abord par une discussion de jalousie :
Zévran : « Sur ce, voulez-vous discuter d'un sujet plus agréable ? Un peu de posédie, par exemple ?
- Je n'y entrave rien.
- Je sais apprécier un bon poème.
- Zévran, ce n'est pas le moment… (fin de la conversation)
Autrement :
Zévran : « Êtes-vous versé en poésie ? En poésie antivan, plus précisément. »
- Je n'y entrave rien.
- C'est ça, votre question ? -1
- Je sais apprécier un bon poème.
- Je n'ai pas de temps à perdre avec ça. -10
Zévran : « "À rêver de tes mains qui me touchent ce soir / De tes halètements, de tes coups de boutoir / La courbe de tes reins est une symphonie / Qui m'invite au désir et m'érige le vit." »
- Oh là là…
- Qu'est-ce que vous me chantez là ? De la poésie sexuelle ?
- C'est une victime qui vous a récité ça ?
- C'est mièvre, au mieux.
Zévran : « Bien sûr, je l'ai troussée, mais il va sans dire que je devais la tuer. Cela dit, j'ai trouvé le poème amusant et je l'ai mémorisé. La dernière phrase est une petite adaptation personnelle. »
- Et pourquoi me le répêtez-vous ?Z
- Et vous comptiez vous en servir pour me séduire ?
- Ce n'est pas impossible.
- N'y comptez pas trop. -2
- Ça ne m'intéresse pas. Du tout. -10 (
- Vous l'avez quand même assassinée ?
- Je suis… sans voix. Atterré.
- Des heures ? Comme vous y allez…
- Je constate que monsieur a des principes.
- Vous êtes un saint parmi les hommes, Zévran.
ZZévran : « Moi qui pensais qu'un peu de poésie grivoise vous dériderait. Vous avez une mine… sinistre. C'est une expression peu flatteuse pour un visage aussi attirant. »
- (Homme) Vous me trouvez attirant ?
- (Femme)
- Je ne me sens pas sinistre.
- Le moement n'est guère aux réjouissances.
- J'apprécie l'intention.
- Inutile. -5
Zévran : « Quant à moi, je veille à tirer le meilleur parti de toute situation qui m'échoit, à rechercher tout instant volé. La plupart du temps, c'est très profitable. Vous pourriez apprendre à faire de même. »
- Je fais déjà de même, à vrai dire.
- J'y réfléchierai.
- "Profitable" ? Vous plaisantez. -10
- Votre condescendance ne m'incite pas à suivre vos conseils. -3
Je voudrais vous parler d'un sujet plus personnel.[]
Si la romance est active et que l'estime de Zévran est égale ou supérieur +25 (Intérêt) :
Garde : « Vous voulez me rejoindre dans ma tente ? »[]
Zévran : « Tiens ? Vous voulez que j'assassine quelqu'un dans votre tente ? C'est ma spécialité, paraît-il. »
- Je suis sûr que vous vous défendez bien dans d'autres domaines. (→C)
- Je veux juste vous parler… en privé. (→A)
- Hmm. J'avais omis ce détail. (→B)
- En réalité, je plaisantais. N'en parlons plus. (→D)
(A) Zévran : « Ma curiosité s'éveille. Quel sujet pourrait nous valoir ce besoin d'intimité ? Voulez-vous… parler de tactique ? De poisons ? De l'art de la danse antivane ? »
- Vous verrez bien. Allez hop, dans la tente. +3 (→E)
- Si nous en parlions ici, mon besoin d'intimité ne serait pas satisfait.
- C'est ça, jouez les timides. Seul dans votre tente. -5 (fin de la conversation)
- Très bien. Zou, dans ma tente. +3 (→E)
- Je n'ai pas envie que de discuter. -2 (→C)
- N'en parlons plus. (→D)
(B) Zévran : « Oui, l'intimité de votre tente serait en effet l'endroit idéal pour mener à bien mes desseins machiavéliques. Vous m'avez démasqué, bravo. »
- Sauf que c'est moi qui ai proposé cette idée.
- Trop tard, vous avez laissé passer votre chance. -1 (fin de la conversation)
- Vous ne savez vraiment pas quand lâcher prise. (fin de la conversation)
- Vous verrez bien. Allez hop, dans la tente. (→E)
- Je veux vous découvrir. Dans tous les sens du terme. +2c
- N'en parlons plus. -1 (→D)
- Si vous voulez retenter votre chance, n'hésitez pas. -3
- À quelles règles d'engagement songez-vous ? (→E)
- C'est moi qui fixe les règles. Hop, dans ma tente, allez. +5 (→E)
- Je pense que nous pouvons nous… entendre. (cinématique de romance)
- N'en parlons plus. +2 (→D)
(C) Zévran : « L'offre est tentante, d'autant qu'elle vient d'un autre homme… à supposer que nous parlions de la même chose. »
- J'en ai bien l'impression. (cinématique de romance)
- Ça vous réussit de jouer les timides ? (cinématique de romance)
- Trop tard, vous avez laissé passer votre chance. -2 (fin de la conversation)
- Non. Pas du tout. -1 (fin de la conversation)
(D) Zévran : « Voyons, c'est vous qui avez abordé le sujet. Après tout, ce n'est pas tous les jours qu'un homme se voit proposer ce genre d'invitation. Comme l'a dit jadis un sage ; demande, et tu recevras. »
- Vous ne savez vraiment pas quand lâcher prise. -2 (fin de la conversation)
- J'ai dit non, c'est non. -8 (fin de la conversation)
- Très bien. Zou, dans ma tente. (→E)
- Je veux vous découvrir. Dans tous les sens du terme. +2 (cinématique de romance)
(E) Zévran : « À vos ordres, chef ! Je dois toutefois vous avertir que je n'ai jamais flanché durant un interrogatoire. Il va vous falloir déployer des trésors d'ingéniosité pour m'ébranler. »
- Trop tard, vous avez laissé passer votre chance. +3 (fin de la conversation)
- Ce n'est pas… ce que j'avais en tête. +4 (fin de la conversation)
- Je vais voir ce que je peux faire. (cinématique de romance)
- J'en dis que ce n'est pas trop tôt. +7 (cinématique de romance)
Zévran : « Vous voyez ? Je savais que nous en arriverions là. J'aurais dû vous avertir au moment où vous avez refusé de me tuer. C'était inévitable. »
- Vous êtes un vrai danger public. (→a)
- Moi qui pensais vous avoir séduit. (→a)
- Dommage, alors, que ça n'ait pas été plus délectable. -12 (→a)
- Je crois que nous devons discuter… -8 (→b)
(→a) Zévran : « Alors. Comme le disait la prêtresse au bel acteur : qu'est-ce qu'on fait maintenant ? »
- Comment puis-je savoir que ça ne fait pas partie de votre plan ? -3 (→c) -3
- J'allais vous poser la même question. (→d)
- On fait comme on a toujours fait. (→d)
- On pourrait remettre ça ? (→d)
- Nous devons en rester là. -15 (met fin à la romance) (fin de la conversation)
(→b) Zévran : « Fort bien, beau conquérant de mes nuits torrides. Quel tourment vous assaille ? »
- Comment puis-je savoir que ça ne fait pas partie de votre plan ? -3
- Ce que nous avons fait ne change rien. Vous en êtes bien conscient ?
- Je veux savoir où nous en sommes, tous les deux.
- Nous devons en rester là. -15 (met fin à la romance) (fin de la conversation)
(→c) Zévran : « Savez-vous que je peux avaler sans risque certains poisons qui pourraient déjà être en train de vous tuer ? »
- Je ne plaisante pas. -2
- C'est donc non ? Je n'arrive pas à savoir. -7
- Pardon. Je n'aurais pas dû en parler.
Zévran : « Mais de toute façon, n'est-il pas un peu tard pour nourrir les soupçons ? Les dés sont jetés, pour ainsi dire. Et superbement jetés, j'ajouterai. »
- Vous avez raison. Il est trop tard.
- Je ne peux pas vous croire sur parole. Cela n'arrivera plus. -15 (met fin à la romance) (fin de la conversation)
- Alors où en sommes-nous, tous les deux ?
- Est-ce que tout cela va changer la donne ?
(→d) Zévran : « J'ai appris à me satisfaire des rares plaisirs que me procurent mes voyages. Si vous souhaitez en rester là, je ne vous en demanderai pas plus. »
- Vous me prenez et vous me jetez ? (fin de la conversation)
- Et l'amour, alors ? -5 (fin de la conversation)
- Nous verrons au jour le jour. +2 (fin de la conversation)
- Je pense qu'il vaut mieux en finir. -15 (fin de la conversation)
Si la première discussion n'a pas abouti à la cinématique de romance :
Zévran : « Et que voudriez-vous y faire ? J'ai comme un sentiment de déjà-entendu. »
- Nous trouverons bien à nous occuper. (cinématique de romance)
- Assez joué les timides. Dans la tente, et que ça saute.
- Trop tard, vous avez laissé passer votre chance. +3 (fin de la conversation)
- Ce n'est pas… ce que j'avais en tête. +4 (fin de la conversation)
- Je vais voir ce que je peux faire. (cinématique de romance)
- J'en dis que ce n'est pas trop tôt. +7 (cinématique de romance)
- Ma foi, si la tente ne vous tente pas…
- Restons-en là, alors. (fin de la conversation)
Si le PJ est un homme :
Garde : « Vous avez toujours été… ? »[]
Zévran : « … intrigué par les tenues en cuir moulant ? »
- Notamment.
- Attiré par les hommes.
- Mettons que je n'ai rien dit. -5 (fin de la conversation)
Zévran : « En matière de sexe, je ne demande à mes partenaires que de savoir y faire. Cette ouverture d'esprit, les Corbeaux la recherchent chez leurs recrues, pour de très bonnes raisons. »
- Quelles sont ces raisons ?
- Vous ne faites plus partie des Corbeaux.
- Qu'entendez-vous par "ouverture d'esprit" ?
- Je ne vois rien à y redire. +2
Zévran : « Bien évidemment, je ne peux rien changer à mon passé. Vous êtes un homme très intéressant, mais si ce que je représente vous met mal à l'aise… autant en être tous deux informés dès maintenant, vous ne croyez pas ? »
- Oui, autant en être informés. -15 (met fin à la romance) (fin de la conversation)
- Ça ne me dérange pas, Zévran. +2
- Vous parlez comme quelqu'un qui a connu bien des choses. +2
- Nous avons tous un passé. +2
Garde : « Nous devons nous arrêter là. »[]
Zévran : « Je vois. Je… serais tenté de vous en demander la raison, mais la réponse, je le crains, m'est déjà connue. » Zévran : « J'ai juré de rester à vos côtés, et je m'y tiendrai. Pourtant, vous préférez que nous restions étrangers. Ainsi soit-il. » de -20 à -45 (selon l'avancée de la relation) (met fin à la romance) (fin de la conversation)
Triangles amoureux[]
Zévran et Morrigan[]
Cette conversation se déclenche si le Garde poursuit une romance avec Zévran et Morrigan simultanément et que l'estime des deux compagnons atteint +71 ou plus.
Zévran : « Morrigan et vous êtes très proches, n'est-ce pas ? Je serais curieux de connaître la nature de votre relation. »
- Pourquoi ? Vous êtes jaloux ? (→A)
- Morrigan et moi sommes proches, oui. (→B)
- Ce n'est pas ce que vous croyez. (→A)
(A) Zévran : « J'ai apprécié notre batifolage à tous les deux, mais je ne crois pas que Morrigan soit du genre partageuse. Si vous envisagez une relation sérieuse avec elle, je lui cède la place sans protester. Pas de complication, tout le monde est content. »
- Ce serait donc aussi simple ?
- Mais je ne veux pas que vous lui cédiez la place.
- Notre "batifolage" ?
- Si c'est ce que vous voulez…
(B) Zévran : « J'ai apprécié notre batifolage à tous les deux, mais je n'ai aucune envie de me mettre en compétition avec une femme, encore moins Morrigan. Si vous envisagez une relation sérieuse avec elle, nous ferions peut-être mieux de nous en tenir là. Pas de complication, tout le monde est content. »
- Ce serait donc aussi simple ?
- Je vous trouve un peu présomptueux.
- Est-ce vraiment nécessaire ?
- Si c'est ce que vous voulez…
Zévran : « En revanche, je ne pense pas que Morrigan partage mon avis. Ce serait lui manque de respect que de courir deux lièvres à la fois. Je suis sûr que vous en avez conscience. »
- Ça, c'est entre Morrigan et moi.
- Je n'ai jamais vraiment "couru" votre "lièvre". -26 (met fin à la romance) (fin de la conversation)
- Vous n'allez pas me forcer à choisir, j'espère ?
- Vous avez sans doute raison.
- Je n'ai conscience de rien du tout !
Zévran : « Et que voulez-vous donc que je fasse ? Je suis coupable de bien des choses : de meurtre, de vol, de débauche… maide de tromperie, ça jamais. Si notre relation n'est pas construite sur l'honnêteté, elle n'a pas lieu d'être.»
OU
Zévran : « Alors notre chemin est tout tracé, pas vrai ? »
- C'est vous que je veux, sans doute permis. (voir la section Poésie antivane pour la suite de la conversation)
- Alors c'est terminé entre nous. Je suis désolé. -26 (met fin à la romance) (fin de la conversation)
- Vous ne me laissez pas le choix. Va pour Morrigan. -26 (met fin à la romance) (fin de la conversation)
Zévran et Léliana[]
Cette conversation se déclenche si le Garde poursuit une romance avec Zévran et Léliana simultanément et que l'estime des deux compagnons atteint +71 ou plus.
Zévran : « Léliana et vous êtes très proches, n'est-ce pas ? Je serais curieux de connaître la nature de votre relation. »
- Pourquoi ? Vous êtes jaloux ? (→A)
- Léliana et moi sommes proches, oui. (→B)
- Ce n'est pas ce que vous croyez. (→A)
(A) Zévran : « J'ai apprécié notre batifolage à tous les deux, mais je sais comment les choses se passent avec le sexe faible. Si vous envisagez une relation sérieuse avec Léliana, je lui cède la place sans protester. Pas de complication, tout le monde est content. »
- Ce serait donc aussi simple ?
- Mais je ne veux pas que vous lui cédiez la place.
- Notre "batifolage" ?
- Si c'est ce que vous voulez…
(B) Zévran : « J'ai apprécié notre batifolage à tous deux, mais si vous envisagez une relation sérieuse avec Léliana, nous ferions peut-être mieux de nous en tenir là. Pas de complication, tout le monde est content. »
- Ce serait donc aussi simple ?
- Je vous trouve un peu présomptueux.
- Est-ce vraiment nécessaire ?
- Si c'est ce que vous voulez…
Zévran : « En revanche, je ne pense pas que Léliana partage mon avis. Ce serait éminemment cruel envers elle de courir deux lièvres à la fois. Je suis sûr que vous en avez conscience. »
- Ça, c'est entre Léliana et moi.
- Je n'ai jamais vraiment "couru" votre "lièvre". -26 (met fin à la romance) (fin de la conversation)
- Vous n'allez pas me forcer à choisir, j'espère ?
- Vous avez sans doute raison.
- Je n'ai conscience de rien du tout !
Zévran : « Et que voulez-vous donc que je fasse ? Je suis coupable de bien des choses : de meurtre, de vol, de débauche… maide de tromperie, ça jamais. Si notre relation n'est pas construite sur l'honnêteté, elle n'a pas lieu d'être. »
OU
Zévran : « Alors notre chemin est tout tracé, pas vrai ? »
- C'est vous que je veux, sans doute permis. (voir la section Poésie antivane pour la suite de la conversation)
- Alors c'est terminé entre nous. Je suis désolé. -26 (met fin à la romance) (fin de la conversation)
- Vous ne me laissez pas le choix. Va pour Léliana. -26 (met fin à la romance) (fin de la conversation)
Cette conversation se déclenche si lors de la discussion de jalousie de Léliana, Alistair ou Morrigan le/la Garde a décidé de rompre avec Zévran.
Zévran : « J'imagine que vous avez trouvé quelqu'un de plus… à votre goût ? »[]
Zévran : « Non, inutile de dire le contraire. Cela ne me dérange pas. C'est la vie, pas vrai ? »
- Je n'avais pas l'intention de dire le contraire.
- Nous allions droit dans le mur…
- Je n'avais pas vraiment le choix.
- Pardon, Zévran.
Zévran : « Une question en découle : si nous ne pouvons êtres amants, pouvons-nous au moins être amis ? »
- Je l'espère de tout cœur.
- Nous verrons bien.
- Parce que cela peut arriver ?
- Non, j'en doute fort.