Les dialogues ci-dessous ne représentent que les dialogues permettant d'augmenter ou de baisser l'estime de Morrigan, toutes les conversations du jeu ne sont pas incluses.
Les traités oubliés[]
Morrigan : « Qu'êtes-vous donc ? Pillards ou vulgaires intrus ? »[]
- Ni l'un ni l'autre. Cette tour appartenait jadis aux Gardes des ombres. +1
- Intrus ? C'est donc que les terres sauvages vous appartiennent ? -3
- J'aimerais d'abord savoir qui vous êtes et d'où vous venez.
- D'où venez-vous ? N'approchez pas ! -5
Morrigan : « Vous. Les femmes ne sont pas créatures à s'effaroucher d'un rien. Dites-moi votre nom et j'en ferai autant. »
- Appelez-moi [Prénom].
- Promettez de ne pas nous nuire. -3
- Je suis [Prénom]. C'est un plaisir de vous rencontrer. +2
- Sûrement pas ! Vous d'abord. -5
Morrigan : « Je n'en ferai rien. Et pour cause : leur disparition n'est pas de mon fait. Et vous réclamer d'un nom dépouillé ici du moindre sens ne suffira pas à m'intimider. »
- Alors qui les a fait disparaitre ?
- Parlez sans tarder ou vous en subirez les conséquences. -10
- Elle se joue de nous. Partons. -5
Morrigan : « Ma mère, pour tout vous dire. »
- Pouvez-vous nous amener à elle ? (fin de la conversation)
- Votre mère ?
- Je ne trouve pas vos petits jeux très amusants.
Alistair : « Il nous faut ces traités, mais que cette Morrigan apparaisse sans crier gare, ça ne me dit rien qui vaille. »
- Je suis d'avis de la suivre. (fin de la conversation)
- Commencez par nous parler plus avant de votre mère.
- Battez votre coulpe : êtes-vous sorcière des Pourquoi une telle ardeur à nous aider ?
- (Sang trouvé) Je suis d'avis de continuer à explorer les alentours. (fin de la conversation)
- (Sang non trouvé) Nous devons toujours recueillir le sang d'engeance. (fin de la conversation)
En plein cœur des terres sauvages[]
Dans la Hutte[]
Morrigan : « Il attend dehors, près du feu. Mère a demandé à vous voir dès votre réveil. »[]
Cette phrase peut différer selon la précédente option choisie.
- Alors je m'en vais. (fin de la conversation)
- Pourquoi votre mère veut-elle me voir ? (répétition sans cette option)
- Mes blessures étaient-elles graves ? (répétition sans cette option)
- J'ai quelques questions à vous poser, si vous permettez.
- (Ces options n'affecte pas l'approbation.)
- Merci pour votre aide, Morrigan. +4
À l'extérieur de la Hutte[]
Flémeth : « Tu m'as bien entendue. Pour autant que je me souvienne, tu es dotée d'oreilles ! »[]
- Je trouve que c'est une excellente idée. +4
- Qu'est-ce qui vous fait croire que nous voudrions d'elle ? -5
- Merci, mais si Morrigan ne souhaite pas nous rejoindre…
Flémeth : « Voilà des années que tu souhaites quitter les terres sauvages ; eh bien, le jour est venu. Quant à vous, Garde des ombres voyez-y le prix à payer pour votre survie. »
- Fort bien, elle vient avec nous.
- C'était votre intention depuis le début, n'est-ce pas ?
- Elle a intérêt à être aussi utile que vous le dites… -1
Flémeth : « Et vous, Gardes des ombres, comprenez-vous ? Je vous fais don de ce qui m'est le plus cher au monde, et ce parce que vous n'avez pas le droit d'échouer. »
- Je comprends.
- Nous n'avons pas besoin de son aide. -5
- Nous veillerons à ce qu'aucun mal ne lui soit fait. +4
Morrigan : « Ou bien, je me contenterai de vous guider en silence. Le choix vous revient. »
- Prenons la route sans plus tarder. (fin de la conversation)
- Non, je préfère que vous vous exprimiez. +4 (→)
- Si Alistair ne voit pas d'objection à votre présence, je n'en ai pas non plus. +2 (→)
- Toute aide est bonne à prendre. (retour à la branche initiale)
- Oh, un peu de tenue, Alistair. (retour à la branche initiale)
- Pas vraiment, non. (retour à la branche initiale)
- À vrai dire, j'ai des questions à vous poser.
- (Ces options n'affecte pas l'approbation.)
Bavardages[]
Ces conversations ne sont pas limitées à un lieu spécifique.
Neutre[]
J'aimerais vous demander quelque chose.[]
Garde : « Comment êtes-vous devenue métamorphe ? »[]
Morrigan : « Lorsqu'un enfant vient à se séparer de sa tribu, nous passons à l'attaque et enlevons le petit pour nous en repaître dans notre tanière. Très amusante, cette légende. »
- Votre mère vit donc ainsi depuis longtemps ?
- C'est du Morrigan tout craché, oui. +1
- Mais ce n'est qu'une légende, n'est-ce pas ?
Morrigan : « Pourquoi cette question ? Y a-t-il quelque chose en particulier que vous voulez savoir ? »
- Pouvez-vous aussi vous changer en d'autres formes humaines ? (répète la branche sans cette option)
- Est-ce que n'importe qui peut devenir métamorphe ? (répète la branche sans cette option)
- Passez-vous longtemps sous forme animale ?
- Comment vous considèrent les autres animaux ? (retour à la branche initiale sans cette option)
- (Dalatien.ne) Certains Archivistes dalatiens utilisent une magie semblable.
- Malheureusement, nos origines nous sont mal connues.
- Je doute qu'il soit disposé à vous révéler grand-chose.
- Il y aurait matière à s'étonner.
- (Non dalatien.ne) […]
- Non, rien de particulier. (fin de la conversation)
Morrigan : « Je poserai peut-être un jour la question à ma mère, même si je doute qu'elle me révèle la vérité. Elle est ainsi faite. »
- (Mage) […] -1
- (Mage) […] -5
- (Mage) […]
- (Mage) […] +2
- C'est tout ce que je voulais savoir.
Si le PJ est Mage :
Morrigan : « […] »
- (Mage) […]
- (Mage) […] +1
- (Mage) […] -1
- (Mage) […] -3
Morrigan : « Vraiment ? Avez-vous donc une opinion sur mes facultés ? Suis-je une abomination naturelle qui mérite le bûcher ? »
- Vos facultés m'ont surtout l'air très utiles. +4 (fin de la conversation)
- Ça m'a effectivement l'air un peu… révoltant. -10 (fin de la conversation)
- (Homme) Le bûcher, non. Le supplice des chatouilles, à la limite. +2 (fin de la conversation)
- À mon avis, cela ne ferait que vous mettre de méchante humeur. (fin de la conversation)
- Au grand minimum. -10 (fin de la conversation)
Garde : « Pouvez-vous enseigner à autrui comment devenir métamorphe ? »[]
(après « Comment êtes-vous devenue métamorphe ? »)
Morrigan : « Peut-être, si j'en ai le désir. Or ce n'est pas le cas. » (si l'estime est inférieur à +25))
- Alors vous auriez intérêt à le trouver, ce désir. -15 (fin de la conversation)
- J'aurais dû me douter que vous étiez une chienne égoïste. -10 (fin de la conversation)
- Et pourquoi pas ? (fin de la conversation)
- Comme il vous siéra. (fin de la conversation)
Si le PJ est Mage :
Morrigan : « […] »
- (Mage) […] (fin de la conversation)
- (Mage) […] (fin de la conversation)
- (Mage) […] -1 she will still teach you (fin de la conversation)
- (Mage) […] (si Wynne est recrutée)
Si le PJ n'est pas Mage :
Morrigan : « À vous, mais si d'autres mages souhaitent apprendre… je peux m'en charger, oui. Envoyez moi l'intéressé au camp et je lui enseignerai ce que je sais. À condition, bien sûr qu'il ait la volonté de s'y soumettre. » (fin de la conversation)
Garde : « Vous avez grandi dans les terres sauvages de Korcari ? »[]
Morrigan : « Pourquoi ces questions ? Moi, je ne vous harcèle pas d'interrogations sans motif, n'est-ce pas ? »
- (Femme) Rien ne vous en empêche. +1
- (Homme) Vous pouvez m'assaillir autant que vous voulez. +2 (initie la romance)
- Je suis curieux(se). Quel mal y a-t-il à cela ?
- Fort bien, je vous laisse tranquille. -1
- Alors répondez-y, à cette question, baste ! -5
- Autant connaître ses compagnons, vous ne croyez pas ? +1
- Je fais cela exprès pour vous agacer. -1 (→)
- Je fais cela exprès pour vous agacer. -1 (→)
- Ça se tente.
- Pourquoi pas une grosse massue, plutôt ? -2
- Pardonnez-moi. J'aimerais juste mieux vous connaître.
Morrigan : « Avec le temps, la curiosité l'a emporté : j'ai quitté les terres sauvages pour explorer ce qui se cachait au-delà. De brèves incursions dans l'inconnu de la civilisation. »
- Et vous ne vous faisiez pas repérer ?
- Mais vous retourniez toujours dans les terres sauvages ?
- J'ai du mal à me l'imaginer. -1
Morrigan : « J'y étais par trop étrangère. Je ne manquais ni d'assurance, ni de courage, mais il y avait bien des choses auxquelles Flémeth n'aurait jamais pu me préparer.
- Vous avez dû vous couvrir de ridicule. -5
- Très audacieux. Je vous reconnais bien là.. +2
- Je m'imagine bien la scène.
- Vous avez été blessée ? +1
Morrigan : « Il m'a montrée du doigt, interloqué, et s'est mis à baragouiner dans sa langue étrange ; la plupart ont cru qu'il me jetait un mauvais sort. J'ai joué la jouvencelle apeurée et il a fini au cachot. »
- Quelle vivacité d'esprit. +3
- Qu'est-il advenu de ce pauvre homme ? -2
- Je dois m'étonner de votre aptitude au mensonge ?
Morrigan : « Bien sûr, j'ai rencontré des difficultés. Certains traits de la société humaine ne laissent pas de me déconcerter. Le toucher, par exemple : pourquoi faut-il se malaxer l'un l'autre en guise de salutation ? »
- (Humain.e) […]
- (Non-humain.e) Aucune idée, je ne suis pas humain(e).
- Se "malaxer" ? Une poignée de main, vous voulez dire ?
- Vous vous êtes fait malaxer dans tous les sens ?
Morrigan : « Pour être franche, je ne comprens pas encore tout ; mais il faut dire que j'ai depuis longtemps perdu tout espoir d'y parvenir. À mon dernier retour dans les terres sauvages, j'ai juré à Flémeth que l'on ne m'y reprendrait plus.
- Et pourtant vous êtes là. -1 (fin de la conversation)
- Vous pouvez rentrer, si vous voulez. -4 (fin de la conversation)
- « Vous voilà bien attrapée, alors. (fin de la conversation)
- Je suis heureux(se) que cela se soit terminé ainsi, en tout cas. +1 (fin de la conversation)
Garde : « Avez-vous déjà été traquée par la Chantrie ? »[]
Si le PJ est du genre masculin :
Morrigan : « Je trouve votre harcèlement de questions charmant. »
- J'en suis fort aise. +1
- Et je trouve vos faux-fuyants charmants. +2
- Vous n'êtes pas tenue de répondre.
- Eh bien décidez-vous. -5
Si le PJ est du genre fémnin, il dialogue commence ici :
Morrigan : « À vrai dire, Flémeth aimait à s'en jouer. À leur arrivée, elel avait coutume de me regarder en souriant et de me dire que les réjouissances pouvaient recommencer.
- Et vous ? Vous trouviez cela réjouissant ?
- Ils ne vous posaient vraiment aucun problème ?
- Je plains les templiers. -3
Morrigan : « C'est alors que commençait le jeu proprement dit. Souvent, Flémeth faisait de moi son appât. Une petite fille qui courait éperdue en criant pour mener les templiers au cœur des terres sauvages, où la mort les attendait. »
- Flémeth se servait de vous comme d'un appât ?
- Et vous les mettiez tous à mort ?
- Il devait bien y avoir des renforts.
Morrigan : « Il m'a fallu attendre d'être plus âgée pour comprendre le danger auquel nous étions confrontées. Je n'avais jamais entendu parler d'"apostats" ni de "maléficiens". »
- Vous ne vous sentez pas coupable d'avoir causé du tort à ces hommes ?-5 (→A)
- (Non-Mage) Qu'est-ce qu'un apostat, au juste ? (→B)
- (Mage) […] (→B)
- Y voyez-vous toujours un plaisir ? (→A)
- Ils n'ont eu que ce qu'ils méritaient? +2 (→B)
(A) Morrigan : « S'il est une chose que les terres sauvages m'ont enseignée, c'est de faire primer la survie. Êtes-vous d'accord ? »
- Pas du tout. Il est des sorts pires que la mort. -5 (fin de la conversation)
- C'est une justification pitoyable. -15 (fin de la conversation) (met fin à la romance)
- Vous avez sans doute raison. +2 (fin de la conversation)
- Je n'ai pas d'avis sur la question. (fin de la conversation)
(B) Morrigan : « C'est peut-être vrai, qui sait. Quand bien même, ceux d'entre nous qui préfèrent la liberté ne voient aucune raison de courber l'échine. »
- C'est-à-dire ? "Plutôt mourir que nous soummettre ?"-3 (fin de la conversation)
- Vous n'avez aucune responsabilité envers vos proches ? -5 (fin de la conversation)
- (Mage) […] -3 (fin de la conversation)
- (Non-Mage) Si j'étais mage, je partagerais votre avis. +1 (fin de la conversation)
- Je suis on ne peut plus d'accord. +2 (fin de la conversation)
- Si vous le dites. (fin de la conversation)
Garde : « Flémeth est-elle réellement ce qu'elle parait ? »[]
Morrigan : « Tout dépend de ce qu'elle paraît à vos yeux, vous en conviendrez. »
- Une vielle femme.
- Une puissante maléficienne.
- Une vieille folle. +1
- Humaine ?
Morrigan : « Dites-moi : que savez-vous de sa légende ? Celle que les Chasinds racontent encore à son propos, pour effrayer leurs jeunes indociles ?
- Je ne savais même pas qu'une telle légende existait.
- J'en ai entendu quelques bribes.
- C'est plutôt la vérité qui m'intéresse.
- Épargnez-moi vos contes à dormir debout. -5
Morrigan : « Je peux vous rapporter ce que Flémeth elle-même m'a jadis conté. Ce sera alors à vous, si tel est votre souhait, d'y croire ou non. »
- Je suis tout ouïe. +2
- Très bien, mais abrégez. -3
- À quoi bon ? -5
- Fort bien. Racontez-moi votre histoire.
- Non, merci. -5 (fin de la conversation)
- Non, merci. -5 (fin de la conversation)
Morrigan : « Comme le veut la tradition des bardes, il fut un temps où Flémeth était jeune et resplendissante, belle jouvencelle en une terre barbare, qui inspirait le désir chez quiconque l'apercevait. »
- À quand remonte ce temps, au juste ?
- Oui, j'ai déjà entendu cette partie..
- Ce n'était donc pas le cas ?
Morrigan : « Le seigneur Conobar a offer fortune et pouvoir au jeune Osen en échange de sa charmante femme. Et Osen a accepté. »
- Il a vendu sa femme à un autre homme ?
- Flémeth devait être furieuse.
- C'est un accord équitable. +1
Morrigan : « Osen fut conduit dans un champ et abattu, laissé pour mort. Les esprits en avertirent Flémeth qui jura de se venger. »
- Les esprits ? Ou bien les démons ?
- Mais ne gagnait-elle pas au change un mari plus riche ?
- C'est donc qu'elle aimait sincèrement Osen ?
Morrigan : « Les légendes font toutes état du grand héros Cormac, qui a vaincu Flémeth et son immense armée lorsqu'elle a envahi les basses terres des siècles plus tard. Mensonges que tout cela. »
- Flémeth aurait tort à dire le contraire. -3
- Quoi donc ? Qu'elle a envahi les basses terres ? Ou qu'elle a été vaincue ?
- (Humain.e) […]
- (Non-human.e) Même mon peuple a entendu parler de Cormac.
Morrigan : « Ce n'est que bien plus tard que Flémeth a été accolée à cette légende, peut-être en raison de la grande guerre contre les Chasinds qui a fini par éclater. Mère affirme ne pas en connaître l'origine.
- Prêtez-vous foi à sa version ? (répète la branche sans cette l'option)
- Comment Flémeth a-t-elle pu survivre aussi longtemps ? (répète la branche sans cette l'option)
- Selon la légende, Flémeth a enfanté des filles à foison ? (répète la branche sans cette l'option)
- Pourquoi refuse-t-elle d'en parler ? (répète la branche sans cette l'option)
- D'ordinaire, les abominations ne sont-elles pas abjectes et démentes ? (répète la branche sans cette l'option)
- C'était une histoire intéressante. Merci. +2
- Des âneries que tout cela. -10
Morrigan : « Oserais-je vous demander de me parler de votre mère à vous ? Je me doute bien que ce n'est pas une abomination légendaire, mais je ne peux m'empêcher de nourrir une certaine curiosité. »
- (Noble humain.e) […] +1 (fin de la conversation)
- (Elfe citadin.e) […] +1 (fin de la conversation)
- (Nain.e roturier.e) […] +1 (fin de la conversation)
- (Dalatien.ne ou Nain.ne noble) Ma mère est morte il y a bien longtemps. +1 (fin de la conversation)
- Je n'ai rien à dire à son sujet. -1 (fin de la conversation)
- Je l'aime. Que voulez-vous savoir d'autre ? +1 (fin de la conversation)
- Épargnez-moi votre curiosité. -5 (fin de la conversation)
Admiration/Intérêt[]
J'aimerais vous demander quelque chose.[]
Garde : « Dites-moi… Êtes-vous vraiment la fille de Flémeth ? »[]
Morrigan : « Il n'est pas inconcevable qu'elle soit parvenue à capturer un Chasind mâle, ou peut-être a-t-elle revêtu une apparence plus séduisante pour l'attirer de son plein gré. J'ai déjà plus de mal à l'imaginer gravide. »
- Elle n'a pas toujours eu son âge actuel, après tout ?
- Se peut-il qu'elle vous ait enlevée en bas âge ?
- Une abomination est-elle douée de reproduction ?
Morrigan : « Certains récits, j'en suis consciente, lui imputent de nombreuses filles, mais je n'en ai jamais rencontré d'autres. Et Flémeth m'a toujours traitée comme le fruit de ses entrailles. »
- Elle ne paraît guère "maternelle". -3
- C'est donc que vous l'aimez ? +1
- Et si vos véritables parents étaient là, quelque part ?
- Quelle jolie famille, avec ses abominations et ses apostats. -5
Morrigan : « Flémeth m'a enseigné tout ce dont j'avais besoin pour survivre. L'utilité du pouvoir. Le véritable fond des hommes. Si d'autres mères n'enseignent pas ces choses, ce sont elles les fautives. »
- C'est possible. +4
- Et la tendresse, dans tout cela ? Et l'amour ?
- Je commence à mieux vous cerner.
- Si vous le souhaitez.
- Bien sûr. +4
- Pas franchement.
Si le Garde est en romance avec Morrigan :
Morrigan : « Regardez-vous. Ne me dites pas que vous désirez honnêtement ces choses ? Mieux vaut ne pas être l'esclave des illusions de l'amour. »
- L'amour ? Je ne vous en demande pas tant, loin de là. -10 (met fin à la romance) (fin de la conversation)
- Vous avez raison. L'amour est inutile. +7 (fin de la conversation)
- Et si c'était le cas ? -3 (fin de la conversation)
- Pourquoi vous limiter ? (fin de la conversation)
Autrement :
Morrigan : « Qui s'adonne à l'amour n'y trouve qu'illusion. Un(e) Garde des ombres tel(le) que vous ne peut qu'en convenir ? »
- À vrai dire, je suis de l'avis inverse. -3 (fin de la conversation)
- Certes, j'en conviens tout à fait. +4 (fin de la conversation)
- C'est une attitude pour le moins cynique. -1 (fin de la conversation)
- Je ne sais trop que penser. (fin de la conversation)
J'aimerais aborder un sujet personnel.[]
Garde : « Que faites-vous encore ici ? »[]
Morrigan : « Pourquoi ? Voulez-vous que je parte ? Si tel est votre souhait, entendu. »
- Oui, je veux que vous partiez.
- Non, je ne veux pas que vous partiez. -10 (fin de la conversation)
- Vous-vous partir ? -10 (fin de la conversation)
Morrigan : « Vraiment ? Si je m'en vais, je ne pourrai plus vous aider. »
- Vous ne m'aidez pas. Morrigan quitte le groupe (fin de la conversation)
- Je m'en accommoderai. Partez. Morrigan quitte le groupe (fin de la conversation)
- Peut-être pas, tout compte fait. -10 (fin de la conversation)
Romance[]
(Seulement disponible au campement, si la romance est active et que l'estime est égale ou supérieur à +51)
Morrigan : « J'ai froid, tout seule dans ma tente. »[]
- Et alors ? Que voulez-vous que j'y fasse ? (→A)
- Alors prenez une couverture plus épaisse. (→B)
- Me voilà forcé d'agir. (→E)
- Je dois rêver ! -3 (→D)
(A) Morrigan : « Eh bien, le fait est que je vous trouve… d'une chaleur tentante. »
- Montrez-moi donc votre tente, alors. (→E)
- Non. Je ne suis pas une bouillotte. -10 (met fin à la romance) (fin de la conversation)
- Morrigan… Je ne sais pas trop… -1 (→C)
- Vous êtes vraiment sûre ? -1 (→C)
(B) Morrigan : « Je me disais qu'il vaudrait mieux un corps bien douillet à côté du mien. »
- Vous êtes vraiment sûre ? -1 (→C)
- Morrigan… Je ne sais pas trop… -1 (→C)
- Je dois rêver ! -3 (→D)
- Ça ne m'intéresse pas. -10 (met fin à la romance) (fin de la conversation)
- Il fallait le dire tout de suite. +7 (→F)
(C) Morrigan : « Allons, Garde des ombres, pourquoi hésiter ? qu'est-ce qui nous en empêche ? »
- Ma foi non. +7 (→F)
- Nous ne sommes pas tout à fait seuls. (fin de la conversation)
- (Romance active avec Léliana) Je ne ferais pas cela à Léliana. -10 (met fin à la romance) (fin de la conversation)
- Mon manque d'attirance envers vous ? -10 (met fin à la romance) (fin de la conversation)
- Rien. Vous avez parfaitement raison. +7 (→F)
(D) Morrigan : « Pourquoi cela ? Est-il aussi inconcevable, dans les circonstances actuelles, que deux personnes seules se retrouvent ? »
- Morrigan… Je ne sais pas trop… (→C)
- Ce n'est pas le moment. -5 (fin de la conversation)
- Totalement. -10 (met fin à la romance) (fin de la conversation)
- Ma foi non. +7 (→F)
(E) Morrigan : « Vous viendrez donc dans ma tente ? Mais qu'allons nous faire, cloîtrés dans ce réduit étriqué, le temps que l'air se réchauffe ? »
- Je vous laisse en décider. +7 (→F)
- Rien de lincencieux, j'espère. -10 (fin de la conversation)
- Vous trouverez bien une solution. +7 (→F)
(F) Morrigan : « Ainsi donc, la légendaire endurance des Gardes des ombres n'est pas imméritée. »
- Vous affabulez.
- Légendaire ?
- Est-il vraiment nécessaire de parler ? +1 (→G)
Morrigan : « J'aime à croire que ces deux aspects y concourent. Une prouesse naturelle, mue par un côté obscur. »
- Et maintenant ? Que fait-on ?
- On pourra remettre ça ?
- J'en déduis que nous avons terminé ? +1 (→G)
(G) Morrigan : « Je vous entreprendrai jusqu'à ce que je m'estime satisfaite, au moins par souci d'équité. »
- Très bien. De quoi voulez-vous parler ?
- Ça m'a l'air amusant. +2
- Vous, un souci d'équité ? +1
Morrigan : « Et si vous décidez de ne pas donner suite à notre… mésaventure, là encore, il en sera ainsi. Voilà qui est simple, n'est-ce pas ? »
- Donc, si je vous dis que cela ne se reproduira plus ? (fin de la conversation)
- Et l'amour, là-dedans ? Qu'en faites-vous ? -5 (fin de la conversation)
- Merci, je n'aurais pas pu comprendre tout seul. (fin de la conversation)
- Ça me convient. +4 (fin de la conversation)
Morrigan : « J'ai quelque chose pour vous. »[]
(Si la romance est active et que l'estime est égale ou supérieur à +71)
- Mais encore ?
- Vous voulez que je devine de quoi il s'agit ?
- Comment cela ?
Morrigan : « Dès que nous avons quitté les terres sauvages, j'ai neutralisé son pouvoir ; mais il m'est venu récemment l'idée de le modifier. À présent, je peux m'en servir pour trouver quiconque le porte. »
- Vous sauriez donc en permanence où je me trouve ?
- Qu'est-ce qui vous fait croire que j'en ai envie ? -5
- C'est très gentil. Merci. +4
Morrigan : « Mon intention, comprenez bien, n'est pas de vous épier. Je crois que vous avez trop de valour pour mettre votre vie en péril ; or, si vous veniez à être capturé, il me serait nettement plus facile de vous retrouver. »
- Il a d'autres propriétés ?
- Je pourrais donc vous trouver, en cas de besoin ? +2
- Comment savoir si je peux me fier à vous ? -10 (répète la branche sans cette option)
- Je pourrais donc vous trouver, en cas de besoin ? +2
- Vous me le donnez donc uniquement par sens pratique ? (répète la branche sans cette option)
- Votre sollicitude me va droit au cœur. +2 (répète la branche sans cette option)
- Non, je ne peux l'accepter. -20 (fin de la conversation)
- C'est bon, donnez-moi ça. (fin de la conversation)
- Merci pour ce cadeau. +4 (fin de la conversation)
J'aimerais aborder un sujet personnel.[]
Premier baiser[]
(Il est possible de répéter la branche indéfiniemment mais l'estime n'augmente que la première fois)
Garde : (L'embrasser.) +4 Morrigan : « Que faites-vous ? Peut-on vraiment parler de discussion, à vous approcher comme vous le faites ? »
- Souffrez mon désir.
- Seulement le désir trop tempéré.
- Je me suis déjà approché bien plus intimement. (si la cinématique de la tente a déjà eu lieu)
- Une objection ?
- Fort bien. Je m'en vais. -3 (fin de la conversation)
Vous voulez me rejoindre dans ma tente ?[]
(Disponible uniquement au campement si l'estime est supérieure ou égale à +51 (Admiration)
Si le Garde et Morrigan ont déjà couché ensemble :
Morrigan : « Peut-être. Voyons un peu ce qu'augure mon naturel capricieux, qu'en dites-vous ?
- Vous voulez bien ? C'est trop aimable. (peut mener à une cinématique de baiser) (fin de la conversation)
- Dans la tente, femme. (cinématique de baiser) (fin de la conversation)
- Si c'est ainsi, alors restons-en là. -1 (fin de la conversation)
Nous devons parler de nous.[]
(Seulement disponible au campement ou si l'équipe n'est composée que du Garde et de Morrigan)
Garde : « Nous n'avons jamais parlée de nos nuits ensemble. »[]
(Aucune option n'a d'impact sur l'estime)
Morrigan : « Q'y a-t-il à dire ? Voulez-vous que je vous porte aux nues ? Que je loue votre virilité, votre endurance ? »
- Seulement si vous y tenez. (→A)
- Maintenant, j'ai l'impression de ne rien être de tout cela… (→A)
- Je voudrais juste savoir où tout cela nous mène. (→B)
- Faut-il que vous vous guassiez de tout ? (→C)
Respectivement :
(A) Morrigan : « Je préfère l'action aux paroles. Pourquoi ne pas plutôt me le prouver ? »
OU
(A) Morrigan : « Voilà que mon cher petit homme se vexe. Allez, un petit baiser et tout est réparé. »
- Je suis partant. (cinématique de baiser) (fin de la conversation)
- Vous alors, vous êtes vraiment une sacrée sorcière. (→C)
- Vous cherchez à éluder la question ? (→C)
(B) Morrigan : « Étrange question, vous ne trouvez pas ? Que voyez-vous ? Un mariage ? Des enfants ? Allons-nous nous installer à la campagne, où vous reprendrez l'appentis pendant que je ferai cuire le pain ? »
- Et qu'y a-t-il de si affreux là-dedans ? (fin de la conversation)
- Je ne sais pas. Vous, que voulez-vous ? (fin de la conversation)
- Croyez-vous vraiment que j'en aie envie ? (fin de la conversation)
- Vous n'y voyez donc qu'une passade, rien de plus ? (fin de la conversation)
(→C) Morrigan : « Fort bien, que voulez-vous donc tant savoir ? »
- Je voudrais juste savoir où tout cela nous mène. (→B)
- Je veux que nous partagions nos sentiments. (fin de la conversation)
- Pourquoi êtes-vous à ce point sur la défensive ? (fin de la conversation)
- Je ne veux rien savoir. (fin de la conversation)
Garde : « Nous devrions mettre un terme à tout cela.[]
Morrigan : « Tuer notre relation dans l'œuf, pour ainsi dire ? N'y pensez plus et je ferai de même. »
Triangles amoureux[]
Morrigan et Léliana[]
Cette conversation se déclenche si le Garde poursuit une romance avec Morrigan et Léliana simultanément et que l'estime des deux femmes atteint 70 ou plus. Les dialogues peuvent différés si le Garde et Morrigan ont partagé leur couche.
Morrigan : « J'ai remarqué que vous passez un temps non néglieable avec cette fille barde. »[]
- Vous parlez de Léliana, j'imagine.
- […]
- Et ? Que vous importe ?
- Ce n'est pas ce que vous croyez.
Si le Garde et Morrigan ont partagé leur couche :
Morrigan : « Mais le fait est que nous avons partagé notre couche, vous et moi. Il n'est guère approprié que vous lui tourniez autour en même temps, vous en conviendrez. »
- Vous êtes jalouse ! -5
- Pourquoi pas ? Elle pourrait peut-être nous rejoindre. -5
- Je ne tolère pas que vous parliez ainsi de Léliana. -15
- Je ne lui tourne pas autour. -5
Morrigan : « Personnellement, cela m'indiffère : je n'impose pas ma présence quand elle n'est pas appréciée. J'aimerais juste savoir à quoi m'en tenir. »
- J'espère que vous n'allez pas me forcer à choisir. (répète la branche sans cette option)
- Vous êtes affreusement présomptueuse. -10 (répète la branche sans cette option)
- C'est vous que je veux, sans doute permis. +12
- C'est Léliana que je veux. Désolé. -10 (met fin à la romance) (fin de la conversation)
- Si vous y tenez, entendu. J'opte pour Léliana. -10 (met fin à la romance) (fin de la conversation)
Cette conversation se déclenche si lors de la discussion de jalousie de Léliana le Garde a décidé de rompre avec Morrigan.
Morrigan : « Inutile de le dire. Votre expression est bien assez éloquente. »[]
- Alors inutile de faire trainer les choses. -15
- Inutile de dire quoi ?
- J'aimerais ne pas en passer par là.
- Je n'ai pas eu le choix.
Morrigan : « En toute franchise, elle vous est nettement mieux… assortie. Eh bien allez-y, profitez de votre charmante petite femme d'intérieur. »
- C'est bien mon intention. -20 (fin de la conversation)
- Dois-je m'attendre à des frictions entre vous deux ? -15 (fin de la conversation)
- Parfait. -59 (fin de la conversation)
- Je suis désolé. -15 (fin de la conversation)
Morrigan et Zévran[]
Cette conversation se déclenche si le Garde poursuit une romance avec Morrigan et Zévransimultanément et que l'estime des deux compagnons atteint +70 ou plus. Les dialogues peuvent différés si le Garde et Morrigan ont partagé leur couche.
Morrigan : « Je remarque qu'au mépris de toute logique, vous passez un temps non négligeable avec cet… assassin. »[1]
- Vous parlez de Zévran, j'imagine.
- Je suis persuadé qu'il n'essaie plus de me tuer.
- Et ? Que vous importe ?
- Ce n'est pas ce que vous croyez.
Si le Garde et Morrigan ont partagé leur couche :
Morrigan : « Mais le fait est que nous avons partagé notre couche, vous et moi. Il n'est guère approprié que vous lui tourniez autour en même temps, vous en conviendrez. »
- Vous êtes jalouse !
- Pourquoi pas ? Il pourrait peut-être nous rejoindre.
- Je n'ai pas partagé ma couche avec Zévran. (si le Garde n'a pas couché avec Zévran)
- Avec lui, ce n'est pas pareil qu'avec vous. (si le Garde a couché avec Zévran)
- Je ne lui tourne pas autour.
Morrigan : « Je n'impose pas ma présence quand elle n'est pas appréciée. J'aimerais juste savoir à quoi m'en tenir. »
- J'espère que vous n'allez pas me forcer à choisir. (répète la branche sans cette option)
- Vous êtes affreusement présomptueuse. -10 (répète la branche sans cette option)
- C'est vous que je veux, sans doute permis. +12 (met fin à la romance avec Zévran) (fin de la conversation)
- C'est Zévran que je veux. Désolé. -10 (met fin à la romance) (fin de la conversation)
- Si vous y tenez, entendu. J'opte pour Zévran. -10 (met fin à la romance) (fin de la conversation)
- ↑ l'approbation est à vérifier mais au vu de la similitude avec la conversation à propos de Léliana, les changements d'estime doivent être les mêmes