Cette page contient une liste des conversations qu'Alistair partage avec les autres compagnons ainsi que ses remarques spontanées.
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Dragon Age: Origins[]
Remarques d'Alistair[]
Sélection[]
- (ajouté à l'équipe)
- « Oui. »
- (retiré de l'équipe)
- « Arg… Sacristi… »
Au repos[]
- (sélectionné pour le contrôle)
- Neutre
- « Fais-ci, fais-ça… »
- « D'accord ! »
- « Je suis là. »
- « Quoi encore ? »
- « Vous n'allez jamais me laisser une minute de répis »
- Neutre
- (contrôlé, interagit avec un objet)
- « Soit. »
- « C'est parti ! »
- « Je m'en occupe ! »
- « Pas besoin de me le dire deux fois. »
- « C'est fait. »
- « Comme vous voulez. »
- (lorsque le Garde embrasse Morrigan)
- « Magnifique. Vous m'excuserez, il faut que j'aille rendre tripes et boyaux. »
Au combat[]
- (pendant un combat)
- « Tu l'auras voulu ! »
- « Allez, en avant ! »
- « Pour les Gardes des ombres ! »
- « Là, ça suffit ! »
- « Regardez-moi comme ça gicle partout. »
- « Ah, toi, tu vas me le payer ! »
- « Oh nan, pas de ça avec moi ! »
- « En avant vers la gloire ! »
- « Sus à l'ennemi ! »
- « Ça manque un peu de mort tout ça. »
- (après avoir éliminé un ennemi)
- « Et n'y reviens pas ! »
- « Excellent ! »
- « C'est ce qui arrive quand on m'écoute pas ! »
- « Bon ça s'est fait. Au suivant. »
- (vie très basse)
- « Je refuse d'abandonner. »
- « Je vais faire un petit somme si ça… vous dérange pas… »
- « Changement de tactique : Mordre les chevilles. »
- (après un combat)
- « On fait une fine équipe. »
- « Et nous sommes toujours en vie. »
- « Ça s'est plutôt bien passé. »
- (après avoir été mis K.O)
- « On a gagné ? Vraiment ? Ouais ! On a gagné ! »
- « Aïe. J'ai des contusions sur mes contusions. »
- « Rien de tel qu'un tête à tête avec la mort pour ne pas vouloir remettre le couvert. »
- « Ah, j'ai la tête qui tourne à présent. »
Lieux[]
Terres sauvages de Korcari[]
- (en passant sous les pendus) « Regardez-moi ça ! Les pauvres bougres… Ils ne méritaient pas un tel sort. »
La tour d'Ishal[]
- (en arrivant au deuxième étage) « Loghain ferait bien de charger dès que nous aurons allumé le signal. La vie du roi en dépend ! »
- (au deuxième étage dans la salle aux mabaris) « Ce levier, là ! Il libérera les chiens ! »
- (après avoir éliminé l'ogre) « Le fanal est là ! Nous avons sans doute raté le signal… Allumons-le avant qu'il ne soit trop tard ! »
Lothering[]
- (en arrivant à Lothering) « Quelque chose me dit que les habitants de Lothering sont au courant de l'arrivée des engeances… »
- (dans la Chantrie) « Vous ne vous êtes jamais demandé à quoi ressemblait vraiment Andrasté ? Si ça se trouve, elle était laide comme un pou. Qui peut le dire ? »
Tour du Cercle[]
- (devant la porte pour pénétrer les dortoirs des apprentis) « Autant que je m'en souvienne, fermer la porte à double tour et jeter la clé est l'une des tactiques favorites des templiers. »
Compagnons[]
Alistair et Morrigan[]
Alistair : Bien… prenons quelques instants pour parler de votre mère.
Morrigan : Je préfererais parler de la vôtre.
Alistair : Je ne vois pas ce qu'il y a à dire. Et puis d'ailleurs, votre mère à vous est une affreuse sorcière qui vit au milieu d'une forêt. C'est nettement plus intéressant, non ?
Morrigan : À vos yeux, peut-être. Vous seriez capable de trouver intéressant le lichen qui pousse sur une pierre.
Alistair : Vous savez ce qu'il y a de plus intéressant encore ? Les apostats. Les mages qui vivent loin de la tour. C'est illégal, vous savez.
Morrigan : Auriez-vous donc ouvert un livre pour en savoir tant ? J'espère que les petits caractères ne vous ont pas demandé trop d'efforts.
Alistair : Sinon, on peut aussi ne pas parler de votre mère. Moi, ça me va.
Morrigan : Une question me taraude, Alistair, à laquelle vous voudrez bien répondre.
Alistair : Ai-je le choix ?
Morrigan : De deux Gardes des ombres survivants, n'êtes vous pas le plus expérimenté ? Je m'étonne que vous laissiez autrui vous conduire comme on mène une brebis.
Alistair : Vous vous en étonnez ?
Morrigan : Vous vous en remettez à la nouvelle recrue. Est-ce là la coutume parmi les Gardes des ombres ? Ou une simple habitude personnelle ?
Alistair : Que voulez-vous entendre ? Que je préfère ne pas avoir à décider ? C'est le cas.
Morrigan : Je vous sens sur la défensive.
Alistair : Faites-moi plaisir, allez donc crever la bouche ouverte dans un buisson.
(Si Alistair a été endurci)
Alistair : Vous préfereriez peut-être jouer les chefs ? Je demande à voir, au moins pour un temps.
Morrigan : Je vous sens sur la défensive.
Alistair : Faites-moi plaisir, allez donc crever la bouche ouverte dans un buisson.
(Si l'héritage d'Alistair a été révélé)
Alistair : Je ne fais que chercher l'ombre de votre père en vous, voilà tout.
Morrigan : Laissez-moi tranquille.
Alistair : Dites-moi Morrigan. Vous avez passé toute votre vie dans cette forêt ?
Morrigan : Il m'est arrivé d'en sortir, mais toujours pour y retourner. Pourquoi ? Qu'y a-t-il de surprenant ? C'est mon foyer.
Alistair : Mais vous y avez vécu seule avec votre mère ? Sans personne d'autre ?
Morrigan : Mère avait parfois… de la compagnie.
Alistair : De la… compagnie ? Je ne suis pas sûr de vouloir en savoir plus.
Morrigan : En effet. Il vaut mieux en rester là.
Alistair : Pourquoi cherchez-vous toujours à me faire passer pour un idiot ? Je ne suis pas un idiot, si ?
Morrigan : Si vous vous sentez obligé de poser la question…
Alistair : Parce que ma virilité en prend un coup, vous savez. Je vais finir par sérieusement douter de mes penchants.
Morrigan : Alors je tâcherai de vous écrire une lettre d'excuses lorsque nous en aurons terminé.
Alistair : La Chantrie m'a éduqué. J'ai étudié l'Histoire. On ne tolère pas les idiots parmi les templiers.
Morrigan : Alors ce devait être une méprise. Je suis très impressionnée.
Alistair : Non, bien sût. Vous ne m'écoutez même pas.
Morrigan : Bigre, vous êtes finalement plus intelligent que vous n'en avez l'air. Vous deviez faire la fierté de votre Chantrie.
Alistair : Ça y est. J'ai trouvé une question à laquelle vous serez incapable de répondre.
Morrigan : C'est à moi que vous parlez ?
Alistair : Eh oui. Vous vous croyez tellement intelligente ? J'ai une question à vous poser, une question académique à laquelle vous ne saurez pas répondre, j'en prends le pari.
Morrigan : Oh… J'en doute fort.
Alistair : Alors dites-moi donc : comment s'appelait l'époux d'Andrasté ?
Morrigan : Ce n'est pas une question académique, c'est une question de théologie.
Alistair : Dites-moi que vous plaisantez ? Un enfant de cinq ans pourrait y répondre. Ne me dites pas que vous en savez moins qu'un bambin ?
Morrigan : Je n'ai cure de votre religion. Cessez immédiatement ce petit jeu.
Alistair : Et voilà. Le mythe s'effondre.
Morrigan : J'imagine que votre formation de templier ne vous a pas convenu ?
Alistair : C'est à moi que vous posez la question, je suppose ?
Morrigan : En voyez-vous d'autres alentour qui ont raté leur instruction religieuse ?
Alistair : Je ne l'ai pas ratée, j'ai été recruté par les Gardes des ombres.
Morrigan : Et si tel n'avait pas été le cas ? Que serait-il advenu de vous, alors ?
Alistair : Je serais devenu un fou dangereux, j'aurais assassiné la Grande prêtresse et j'aurais arpenté les rues de Dénérim en sous-vêtements, sans doute.
Morrigan : Je vois que vous vous connaissez à la perfection.
Alistair : Je savais que ça vous plairait.
Morrigan : Ne laissez pas vagabonder votre regard, Alistair.
Alistair : Non non, n'ayez crainte. Ce n'est pas ce que vous pensez.
Morrigan : Je vois
Alistair : Je regardais votre nez.
Morrigan : Et pourquoi mon nez vous captive-t-il autant ?
Alistair : J'étais en train de me dire qu'il ressemble à s'y méprendre à celui de votre mère.
Morrigan : Je le hais.
Alistair : Pardon ?
Morrigan : Non, rien.
Alistair et Chien[]
Alistair : C'est vraiment aussi intelligent que ça, un mabari ? Vous croyez qu'il comprend tout ce qu'on raconte ?
Chien : (Aboiement conversationnel)
Alistair : Oh… Tiens donc ? Si ça se trouve, tout ce que tu entends, c'est le ton de ma voix. Rien ne nous dit que tu n'es pas un fieffé crétin.
Chien : (Aboiement énervé)
Tout doux. On peut très bien être crétin ET mignon tout plein. Qui c'est le toutou mignon tout plein ?
Chien : (Aboiement heureux)
Alistair : Aux innocents les mains pleines, comme on dit. Comme le dit la Chantrie, en tout cas.
Alistair : Tu comprends vraiment ce qui se passe ? L'Enclin, la guerre civile… Je me demande bien ce dont tu as conscience, dans le lot.
Chien : (Il remue la queue joyeusement)
Alistair : Nous avons tous été choisis… Nous avons tous un rôle à jouer. Même toi. Surtout toi, dans un sens. Tu es le mabari. Le gardin d'un être d'exception…
Chien : (Aboiement excité)
Alistair : Qu'y a-t-il ?
Chien : (Aboiement excité !)
Alistair : Tu veux… jouer ? Mais je suis en train de te parler. Pourquoi personne ne veut jamais m'écouter ?
Alistair et Shale[]
Shale : J'ai appris que vous aviez perdu bon nombre de frères dans la bataille contre les engeances. Alistair : Moi ? Oui, effectivement. En même temps, c'est à peine si je connaissais la plupart. Sauf Duncan. Shale : Ce nom m'est inconnu. Alistair :C'est… sans importance. Si vous ne le connaissez pas, ce n'est pas grave. Shale : Je ne me rappelle pas avoir jamais accordé d'importance à quiconque. Je suivais les ordres, voilà tout ce dont je me souviens. Alistair : Je serais heureux de suivre les ordres de Duncan en ce moment, si c'était possible. Shale : Vous aimez suivre les ordres ? Étrange. Alistair : Vous ne pouvez pas comprendre. N'ayez crainte, je ne vous en demande pas tant.